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A vrai dire, je portais ce livre en moi depuis très longtemps. Je voulais écrire un roman sur la transmission transgénérationelle, la résilience, sur l’enfance et son influence sur la construction identitaire car ce sont des sujets qui m’intéressent. Je voulais aussi un livre à la fois drôle, tendre, dur, émouvant. J’incubais. Et puis un jour, le livre était là, écrit, dans ma tête : personnages, structure, narration… Je m’y suis plongé intensément et en 15 jours, il était écrit.
Il y en a tant ! En premier lieu, je citerai Céline, Boudard, Fante, Cendrars, Blondin ou encore Dostoievski, mais aussi en poésie Verlaine, Rimbaud, René Char, Ferré, Brassens ou Prévert.
Les livres ont été pour moi des amis fidèles. J’aime à penser que POC puisse être de ces compagnons-là, ce réconfort inattendu, cet ami qui nous se sentir moins seul sur le chemin.
Pour la liberté. De l’écriture d’abord. Des thèmes. Du ton. Du style… Jusqu’à la couverture.
Tout au long du mois de décembre s’établit entre eux et moi un dialogue autour de l’écriture, sans qu’il sache qui je suis, ni le roman qu’ils ne vont découvrir que dans la seconde quinzaine du mois. Forts de ces échanges, nous continuons alors le dialogue à la lueur de leur lecture du roman. J’aime l’idée qu’ils découvrent ainsi des auteurs, des œuvres, à l’aveugle, et pénètre ainsi peu à peu dans leur univers.
Bien sûr ! J’entretiens des échanges épistolaires avec nombre d’entre eux ! Nous échangeons sur le roman, sur leur ressenti, leur analyse du livre, les émotions qu’il a suscitées. Au final, nous digressons souvent sur la littérature, l’art en général, certains me font découvrir des livres qu’ils ont lus et qui les ont marqués. C’est un très bel échange qui se tisse au fur et à mesure, qui finit même par devenir un lien fort. C’est très riche.
De ne pas trop se poser de questions. De ne pas écouter les conseils. De se lancer. D’écrire, d’un trait, sans revenir en arrière, sans poser de jugement sur ses écrits. De savoir où il va, tout en se laissant surprendre par les chemins de traverse que prendra parfois sa plume, de rester ouvert à cet inattendu, aux heureux accidents narratifs, d’accepter qu’en se perdant, parfois, il va découvrir des paysages sublimes qu’il ne soupçonnait pas.
Oui, l’écriture d’un second roman qui sortira, je l’espère, en 2018. Je viens également de terminer un recueil de poésies qui s’intitule Terrain Vague.
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