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Point d'avers sans son revers ; point de droite sans la gauche. La droite, en soi, n'existe pas : elle n'existe que dans l'opposition à une gauche qui elle se définit comme « progressiste », comme le « parti du mouvement ». En réaction, la droite est « conservatrice » et « traditionnelle » ; elle se méfie des innovations politiques et sociétales : contre la démocratie et pour la peine de mort naguère, contre le droit de vote aux étrangers, le mariage homosexuel, la PMA sans père aujourd'hui....
Point d'avers sans son revers ; point de droite sans la gauche. La droite, en soi, n'existe pas : elle n'existe que dans l'opposition à une gauche qui elle se définit comme « progressiste », comme le « parti du mouvement ». En réaction, la droite est « conservatrice » et « traditionnelle » ; elle se méfie des innovations politiques et sociétales : contre la démocratie et pour la peine de mort naguère, contre le droit de vote aux étrangers, le mariage homosexuel, la PMA sans père aujourd'hui. Toutefois, il serait injuste de réduire l'opposition droite/gauche à ce schéma qui, finalement, fait la part belle à la gauche. En matière d'économie par exemple, la droite -- du moins libérale -- se montre souvent plus audacieuse et innovante qu'une gauche arc-boutée sur les « acquis sociaux » coûteux et contre-productifs. Le conservatisme change alors de camp. Et où situer alors le catholicisme social du début du XXe siècle contre la laïcité mais très ouvert aux revendications ouvrières ? Pour se rassurer on dit aujourd'hui qu'il y a des catholiques de droite, les « tradis », ceux qui défilaient en 2013 contre le « mariage pour tous » et des catholiques de gauche ou « cathos de gauche » en pointe sur l'accueil des « migrants » et qui se reconnaissent bien dans la figure du pape François alors que les premiers ne cachent pas leur préférence pour Jean-Paul II ou Benoît XVI.