Pour Jean Dugenêt les années Mitterrand ont permis aux exploiteurs d'infliger une cuisante défaite aux travailleurs grâce à la politique de trahison mise en œuvre par François Mitterrand dès son investiture.
Jean-Luc Mélenchon considère au contraire que François Mitterrand a réalisé dans les trois premières années de son premier septennat une « œuvre immense », « une véritable bascule sociale ». Il se prépare à mener la même politique que son « maître à penser ». Il est d'ailleurs fermement opposé au Frexit mais il tient à ce sujet des discours volontairement ambigus.
Jean Dugenêt estime quant à lui que les travailleurs ne pourront rien obtenir sans le Frexit. Il propose donc de rejoindre l'UPR et de développer, au sein de l'UPR, une avant-garde du mouvement ouvrier qui œuvrera à la mise en place d'un véritable gouvernement des travailleurs.