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Le genre feel good est né d’abord dans l’industrie du cinéma il y a quelques années et s’est répandu dans les autres domaines culturels. Il est donc normal que les professionnels de l’édition s’en soient inspirés également.
Par définition, les romans feel good ont pour objectif que les lecteurs se sentent bien, jouent un rôle d’antidépresseur, redonnent le sourire quand on l’a perdu. Mais attention, il ne faut pas y chercher pas des histoires d’amour à l’eau de rose. Les histoires sont certes positives mais restent réalistes. En lisant un roman feel good, l’auteur en apprend plus sur la nature humaine, les liens qui lient les êtres, les sentiments liés aux différentes situations de la vie.
Leur but n’est pas de donner une version édulcorée de la vie mais de prendre de la distance avec des événements durs que nous vivons tous. Tout ça avec une plume légère, sans gravité.
Par son titre déjà : il est souvent à rallonge comme si l’histoire avait déjà commencé là. Ensuite par sa couverture, aux couleurs vives et pétillantes. Mais souvent parce que vous y verrez du second degré, une métaphore qui vous fera sourire ou qui va vous intriguer.
Et puis de plus en plus, vous trouverez ces livres sur la table des best sellers.
En conclusion, on accueille volontiers cette tendance parce que, non, on ne leur demande à ces livres pas de changer notre vie ou de nous bousculer mais seulement de passer un bon moment et c’est déjà beaucoup.
Si vous écrivez ou avez écrit un roman feel good, ne partez pas trop loin. Il se pourrait bien que ce genre soit la prochaine thématique d’un concours littéraire Bookelis. A suivre...