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Lorsque l’on entend « écrivain public », on pense qu’il s’agit d’une personne qui écrit pour les personnes ne sachant écrire. Cela peut être le cas mais mon travail ne s’arrête pas là.
Il est vrai que je propose des services aux particuliers pour les aider avec la création d’un CV ou avec leur courrier administratif, mais étant moi-même auteure, j’ai voulu me spécialiser dans les services aux auteurs et futurs auteurs.
Mon travail, ici, consiste à accompagner l’écrivain dans son aventure d’écriture : cours ou coaching d’écriture, bêta-lecture (analyse complète), correction, recherche d’éditeurs ou accompagnement dans l’autoédition, etc.
Mon travail est très diversifié et enrichissant. Je rencontre des auteurs et des styles différents.
Ils sont très variés. Cela peut être une personne qui voudrait écrire, mais n’a jamais écrit de livre. Cela peut être également un auteur autoédité qui a besoin d’une relecture ou de conseil. Ces personnes sont aussi femmes au foyer et mères de trois enfants, avocats ou encore étudiants. Tout simplement car tout le monde peut écrire et se passionner pour l’écriture.
Personnellement, pour écrire un roman, je prends un an pour tout le processus d’écriture. De l’idée à la dernière relecture.
Bien entendu pour un accompagnement, les rendez-vous sont espacés dans le temps et nous avançons au rythme de l’auteur.
C’est très exaltant de partager l’aventure de l’écriture d’une personne. D’une personne qui a la même passion que vous. J’accompagne les auteurs, je donne les conseils et propose des suggestions sans empiéter sur le style de chacun. Ce n’est pas mon roman, l’auteur est libre de tenir compte ou non des conseils donnés. Mais je suis là pour le voir et c’est passionnant.
C’est une question difficile. Cela dépend des besoins de l’auteur. Lorsqu’un auteur a besoin ou ressent l’envie de faire appel à mes services, c’est qu’il est bloqué ou qu’il a besoin d’être rassuré et/ou conseillé. Du coup, le mieux est une première prise de contact.
J’écris pour moi, le soir. Je garde mes journées pour travailler avec ou pour mes clients. Et surtout, je garde du temps pour lire.
J’ai commencé à écrire seule. Je ne connaissais rien à l’édition. Lorsque j’ai voulu être publiée, j’ai découvert l’édition à compte d’auteur et à compte d’éditeur. J’ai découvert qu’il y avait des petites maisons d’édition moins connue, des contrats qu’il ne fallait pas signer. Et enfin, j’ai découvert l’autoédition. C’était, il y a déjà six ans. Le concept m’a plu.
J’ai publié en autoédition pour garder mes droits d’auteur, être libre et ne pas attendre pour publier mes livres. A présent, je suis un auteur hybride (comme on le dit à ce que j’ai pu entendre), c’est-à-dire que je suis éditée et autoéditée.