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On continue de nous mentir. L'endettement de la France va croissant. Profitant de taux d'intérêt momentanément bas, les hommes et femmes poli-tiques poursuivent leur travail de démolition. Nous ne sommes plus aujourd'hui maîtres de notre destin, à la merci des retournements de situation : les taux augmenteront, le prix du pétrole ne sera pas éternellement bas, la parité euro/dollar ne nous sera pas continuellement favorable. Que se passera-t-il alors ? Nous serons soumis aux desiderata...
On continue de nous mentir. L'endettement de la France va croissant. Profitant de taux d'intérêt momentanément bas, les hommes et femmes poli-tiques poursuivent leur travail de démolition. Nous ne sommes plus aujourd'hui maîtres de notre destin, à la merci des retournements de situation : les taux augmenteront, le prix du pétrole ne sera pas éternellement bas, la parité euro/dollar ne nous sera pas continuellement favorable. Que se passera-t-il alors ? Nous serons soumis aux desiderata d'entités créditrices internationales qui feront la pluie et le beau temps sur notre territoire. Regardez la Grèce.
Le système politiques en vigueur a démontré ne plus être capable de garantir la gestion efficace de notre Nation. Les hommes et les femmes poli-tiques se sont avérés incompétents, ils ont compro-mis une majorité de la population pour l'avoir soudoyée au travers du plus grand système d'aides, avantages, niches ...etc. jamais conçu. En moins de cinq mois en ce début d'année 2016, plus de cinq milliards ont été distribués par le président au pou-voir, pour contenter les futurs électeurs, pour vous contenter. Allez-vous fermer les yeux, feindre de ne pas avoir compris la manœuvre ou la tactique politicienne ? Allez-vous voter, comme par le passé, pour celui qui vous donnera momentanément, quitte à ruiner l'avenir de vos enfants ?
Je ne serai pas de ceux qui se sont tus en attendant que ça passe. J'aurais au moins proposé un programme politique propice au redressement. Ne serait-ce que par bon sens, il devrait être partagé par un grand nombre.