LA PAGAILLE DE MON PAYS

Ô le peuple, réminiscence de ce temps douloureux. Les enfants saignés et continuant à battre pour la liberté Ô mon cher beau pays, le chemin de tes enfants est sombre. Ô mon pays, les mensonges fiables, les civils meurent, les diables tuent, les civils coupables. Ô mon pays, la mort subreptice de tes enfants, les actes illicites de ces monstruosités qui ôtent l'âme de ses enfants innocents. Combien sont morts en héros parmi tes enfants, combien sont morts en défendant leur pays... Tes enfants meurent en luttant pour la liberté, je vois, je pleure, je tremble, j'observe toute bouche bée, je n'arrive toujours pas dire un mot, car je ne pouvais plus lutter pour ma liberté. Les yeux rougis ! Les corps trembles ! La terre inondée ! Inondée par les sangs !