ENTRE OMBRE ET LUMIERE

Le temps briseur de masques trompeurs, Le temps balaie l'arrogance Accepte les nouveaus amis avec prudence, Fait pardonner les insultes et couronne les flatteurs. Les critiques passées manquent les oreilles, aussi les regrets modestes; pour apprécier l'ouverture, Ne pa trahir ou ne pas pardonner la cruauté, Ce qui est perdu dans la douche ne revient jamais. La passion brûle, brûle tout en couvant. Les veines en ébullition avec du sang chaud, Dans le ciel les corps envolés sans sentiment En sachant la douleur de l'amour terrestre. Je n'aime pas les compliments qui m'ennuient, Les larmes assez déversées sur l'oreiller la nuit Je n'aime pas quand ils entrent sans frapper, Ceux qui crient sur l'amour mais qui n'ont jamais aimé Je me casse en petits morceaux, Je gagne deux ailes blanches d'un oiseau Je me dissous dans le bonheur de la symphonie, Tout a eté envolé ce que je dois avant dans ma vie MFF