Amélia et l'épée de l'enfer.

Les grands esprits, sont courageux et généraux. Les grands main sont là, pour protéger. Les petits êtes fragile de se monde. Les petits main sont d'étés de fouine des êtres sombres. Tendre la main . Que se jour là. Là je serai un jour il viendra. Pouvoir te retrouver et attendra une délivrance. Souffrance dans un cœur. Je veux te donner. Les derniers mots d'un cœurAmélia et l'épée de l'enfer. Sur Bookelis cacher d'une flamme, qu'on na pas eu le temps de l'éteindre. Tu est parti sens me dire au revoir. Sans aucun mots, notre flamme et toujours là. Même à travers l'étoile et tout les mystères qui nous dépasse. Reste encore avec moi. Même si je te voir pas, j'ai besoin d'auprès de moi. Tu me manque quoi qui se passe. Je te dit bonne nuit. Je dois pas dormir. Doux que des mots de ce crayon, on étaie vidés. A travers les temps qui nous dépasser. Quand je sens que nous sommes ensemble. Tout ces tombe en morceau. Ne peux pas détourner, il sont si bleu, tes yeux. Je ne peux pas arrête de les regarder. Je ne peux pas arrête de les regarder. Tu est sacré pour moi, que vous dites. A coter de vous, je serai toujours. Diriger par mon réveille. Puisque nous sommes entourés. Des lieux de la gaucherie. D'un projecteur l'herbe plus verte. Ne vous laissez pas aucune. En paix, mais ces rêves. Dans notre c1/2ur d'un gout d'amertume. Ne peux me rappeler, je peux te sentir. Mais cette douleur entre ces murs voir les fissures. Qu'il y aurait ne pensais jamais. Je me aime vous me aimes, dormir. Maintenant que me crièrent a tant de nuits. Je vis pour tout ce que vous êtes. Vous savez pas mes demander. Vous ne devez restez avec moi. Oh promets que vous me chuchotez dans le silence. Prononce les mots. Maintenant, juste derrière vous. Pour survivre en moi. Je me suis toujours. Comme ils monter sur leur mots. Mon ciel de nuit que vous êtes. J'étouffe de cette douleur. Je vais vous montrer, vous quelque part. mais entre ces murs.

sagot-sarah

Lire la suite