Stéphane Jordans

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  • Auteur Bookelis depuis mars 2021
  • Nombre de publications : 2
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Biographie

Pourquoi écrire ?
Mon rapport à l’écriture est un besoin.
Enfant, quand je me disputais avec mes parents, je leur écrivais pour partager mes émotions et parfois m’excuser.
Chez mes grands-parents en Suisse, je passais mes journées à taper sur une vieille machine à écrire, imaginant des tas d’histoires.
Plus tard, à l’adolescence, j’ai participé pour la première fois à un concours d’écriture. Sans succès.

De formation juridique, je suis amenée également à rédiger des actes notariés. Toujours l'écriture.

Au fil du temps, j’ai écrit trois thrillers :

1/- "Happy House" : Le destin d’une famille parisienne est bouleversé lors d’un séjour à Deauville. Dans une maison louée à cette occasion, la mère y est agressée tandis que deux de ses trois enfants sont assassinés. Martin, l’enfant survivant, pourra-t-il sauver son père à temps d’un tueur implacable?
Happy House traite :
- de la dépendance sexuelle. Peu connue en France comme une maladie.
- et du nazisme : je pose la question de l’existence des néo-lebensborn.

2/- "Happiness is a warm gun in your hand": La police enquête sur la disparition de trois enfants. L’une d’elles a pour nounou une jeune fille perturbée dont la mère a été reconnue coupable de meurtre et dont le frère est accro aux jeux vidéo. Serait- elle coupable? Dans le même temps, le commandant di Venice poursuit sa recherche de sa femme et de son enfant. Une piste sérieuse le dirige en Bavière.

Ce livre traite :
- du conflit transgénérationnel : l’importance du passé par rapport au présent.
- comment survivre après un deuil
- de la médiumnité : le pouvoir de communiquer avec les morts : réalité ou fiction ?
- du somnambulisme : la jurisprudence actuelle française répond à la question : tuer dans un état de somnambulisme serait-il un crime parfait ?
-de l’importance de parler pour désamorcer les conflits.
-de la psychologie d’un tueur en série, de son enfance à l’adolescence : est-elle innée ? Les jeux vidéo seraient-ils désensibilisants ?
Ce livre pose beaucoup de questions et y répond.
On retrouve aussi le fil conducteur de Happy House, celui de l’enlèvement de la femme enceinte du commandant di Venice par un groupe néo-nazi

3-"Au Mal une foi fait, il n’est pas de remède" :
Résumé: La cloche sonne. Elle ouvre les yeux pour les fermer immédiatement. L’adrénaline monte en elle. Les enfants sortent à l’aire de jeux. Premièrement, ils ne remarquent rien. Puis certains d’entre eux commencent à s’approcher d’elle.
Ils n’ont pas besoin d’être trop proches sinon...
Elle allume son briquet.
Hurlant. Hurlements d’une bête, déchirants, effrayants, atroces.

« Une fois le mal fait, il n’y a pas de remède ». Sauf peut-être la mort de ceux qui l’ont commis.
Le commandant di Vénice s’interroge : des cadavres disparaissent, la directrice d’une école primaire s’enflamme devant des élèves, un mécanicien s’étouffe avec une feuille d’or.

Je voulais écrire des livres comme je les aime.
Avec du suspens et riche en rebondissements.

Pourquoi des titres en anglais, me diriez-vous? Sans doute, une question d’harmonie sonore.
Happy House : la maison du bonheur, dans Français, c’est un peu étrange pour un thriller, non?
Le bonheur est un pistolet chaud dans votre main: le titre d’une chanson des Beatles. Enfin presque. Cela sonne mieux que « le bonheur est un pistolet chaud ».

« Au mal une fois fait, il n’est pas de remède » une citation d’Homère est un livre sur le harcèlement scolaire, l’honneur et la vengeance.

Et le quatrième... Il sortira en 2022.

N’hésitez pas à partager votre point de vue avec moi.

Très bonne lecture.
Stéphane