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Depuis que je sais tenir un crayon, je gribouille sur tout ce qui me tombe sous la main. Mes cahiers de brouillon, si je les avais gardés, pourraient en témoigner. Par la suite, mon milieu de travail a été une source d'inspiration intarissable. Je garderai toujours en souvenir une certaine réunion de directeurs au cours de laquelle un collègue, à son insu, m'a inspiré un dessin qui a fait le tour de la table: on pouvait suivre son cheminement aux fou rire qui se propageait avec le dessin, au point que le DG dut interrompre son discours et attendre que la vague de rire l'emporte à son tour.
C'est avec Télérama, "le Wizzz", que j'ai enfin osé me soumettre au regard d'inconnus, et ça a marché.
Après maintenant 15 ans, je découvre avec Bookelis une occasion, peut-être, de faire un pas de plus. Alors je me dis: "A quand le festival d'Angoulème?"; A 80 ans, j'ai passé la limite d'âge édictée par Hergé "pour les enfants de 7 à 77 ans". Mais après tout, si avec l'allongement de l'espérance de vie on veut retarder l'âge de départ à la retraite, il serait bien normal qu'on puisse s'intéresser à la BD jusqu'à, disons, 87 ans ! Non ?
Qu'en pensez-vous ?