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Un essai, à la fois, social et philosophique : La Société M... L'es-tu ?
C'est parce que chacun de nous se révolte à sa façon contre l'inadmissibilité du clientélisme gouvernemental auquel nous assistons quotidiennement, parce que lors de la guerre civilisée, chacun de nous choisit une arme livresque, parce que chacun de nous se distingue par ses pensées et ses idéologies, parce qu'on a ras le bol de la négation présidentielle qui nous pousse dans les catacombes de la discrimination...
Un essai, à la fois, social et philosophique : La Société M... L'es-tu ?
C'est parce que chacun de nous se révolte à sa façon contre l'inadmissibilité du clientélisme gouvernemental auquel nous assistons quotidiennement, parce que lors de la guerre civilisée, chacun de nous choisit une arme livresque, parce que chacun de nous se distingue par ses pensées et ses idéologies, parce qu'on a ras le bol de la négation présidentielle qui nous pousse dans les catacombes de la discrimination volontaire, parce que l'inconscient social a pris conscience de la médiocratie emblématique de son insignifiance comportementale, parce que j'ai choisi de donner ma voix aux lettres idéelles conservatrices de la dignité humaine.... Parce que... C'est pour ces raisons et tant d'autres que cet essai anesthésique a visité les pages blanches de mes oeuvres inachevées.
L'essai est une immersion idéologique dans les cauchemars calendriers que vive et survive tout citoyen sous la toiture moisie de l'Abribus national. Ceux suscités par des aspirations libertaires d'un citoyen qui a franchi la ligne de l'absurdité ostentatoire de ce qu'on appelle: l'ontologie rébarbative. Et les cauchemars relèvent de l'ordre du chaos civilisationnel.
La présentation de l'essai est atypique. Logiquement, lorsque la logique est plus que conventionnelle, les cauchemars s'enchainent dans une succession nostalgique d'un monde meilleur. Affaire à suivre...