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Le 23 février 1848, époque à laquelle la France depuis plusieurs jours et Paris surtout depuis la veille étaient
profondément agités par la question des banquets réformistes, l'on voyait rue Saint-Denis, non loin du boulevard,
une boutique assez vaste, surmontée de cette enseigne :M. Lebrenn, marchand de toile, À l'Épée de...
Le 23 février 1848, époque à laquelle la France depuis plusieurs jours et Paris surtout depuis la veille étaient
profondément agités par la question des banquets réformistes, l'on voyait rue Saint-Denis, non loin du boulevard,
une boutique assez vaste, surmontée de cette enseigne :M. Lebrenn, marchand de toile, À l'Épée de Brennus.
En effet, un tableau assez bien peint représentait ce trait si connu dans l'histoire : le chef de l'armée gauloise,
Brennus, d'un air farouche et hautain, jetait son épée dans l'un des plateaux de la balance où se trouvait la rançon
de Rome, vaincue par nos pères les Gaulois, il y a deux mille ans et plus