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« Volksetymologie portative et intime », ce livre recueille des bribes ou fragments du corps mental, sous une forme inédite que l'auteur a nommée Aphorimes, sans le « s », comme il l'explique dans la note liminaire. Avec pour « point d'orgue » l'abrégé onomastique de quatre-vingts poètes de tous temps et pays ayant ponctué sa vie. Nomen omen : sans doute n'ont-ils pas tort ceux qui, depuis l'Antiquité platonicienne, ont entrevu dans le nom un condensé du destin ; à la fois baptême, bilan et...
« Volksetymologie portative et intime », ce livre recueille des bribes ou fragments du corps mental, sous une forme inédite que l'auteur a nommée Aphorimes, sans le « s », comme il l'explique dans la note liminaire. Avec pour « point d'orgue » l'abrégé onomastique de quatre-vingts poètes de tous temps et pays ayant ponctué sa vie. Nomen omen : sans doute n'ont-ils pas tort ceux qui, depuis l'Antiquité platonicienne, ont entrevu dans le nom un condensé du destin ; à la fois baptême, bilan et anticipation, car ce n'est qu'avec la mort que s'ouvre la cage du nom -- pour le laisser s'envoler dans une sorte de danse rituelle ou virtuelle.
Henri Abril a écrit des poèmes en français et en russe (« Syllabaire / si l'aube », « Gare Mandelstam », « Byzance, le sexe de l'utopie », « La Maison de l'oiseau russe »), traduit et commenté certains des grands poètes russes du XXe siècle, notamment Essénine, les poètes de l'absurde, Mandelstam,rina Tsvétaïéva et Akhmatova.
Informations techniques
Nombres de pages : 136
Date de publication : 2018-09-14 10:29:42ISBN : 979-10-227-7493-2Bookelis