Comment avoir des idées de romans à succès

Un auteur de romans doit être une machine à produire des idées. Pas le choix ! Mais d'où viennent les bonnes idées et comment les rendre meilleures pour écrire un roman à succès. Vous avez une idée de roman ? OK, mais est-ce qu'une idée ça suffit pour écrire 25 000, 50 000 ou 120 000 mots ? Non ! il en faut des dizaines et des dizaines. Et même si vous avez une bonne idée pour tout votre roman, vous pouvez encore l'améliorer pour en faire une grande idée, qui portera toute votre écriture. Si vous vous écrivez à votre bureau avec une seule idée pour votre roman, peut-être arriverez-vous à écrire 15 ou 20 000 mots. Mais ensuite ce manuscrit ira dans un tiroir, le cimetière des romans inachevés. Les écrivains professionnels ne peuvent pas passer des heures ou des jours à écrire des romans qu'ils ne finissent pas. Dans ce livre qui fait suite à _Comment écrire des romans à succès_, Fred Godefroy explore votre matière première : les idées. Les idées de tous les jours, les idées qu'on n'a qu'une seule fois dans sa vie, les idées qui viennent toutes seules, mais surtout les idées qu'on observe, qu'on note et qu'on travaille. Ces idées qui font la différence entre un roman non fini et un roman à succès. « La créativité n'est pas un talent. C'est une façon d'opérer » John Cleese. Et cette façon d'opérer vous pouvez la maîtriser pour dépasser la page blanche. Parce que des bonnes idées pour un roman, il vous en faut des dizaines et des dizaines : certaines seront pas mal, certaines seront à jeter à la poubelle, d'autres mériteront d'être améliorées pour écrire un roman à succès. Ce livre se concentre aussi sur l'Idée, la grande Idée, celle qui vous portera au bout du roman, au travers du ventre mou du milieu du roman, mais aussi à chacune des étapes de la structure héroïque. Avec ce livre, vous apprendrez concrètement à préparer le super -concept de vos romans, séries et sagas. « Vous avez tout le temps des idées. La seule différence entre les écrivains et les autres, c'est qu'on remarque quand on le fait. » Neil Gaiman