Georges Henri LAGARDE

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  • Auteur Bookelis depuis mai 2019
  • Nombre de publications : 3

Biographie

Biographie

Je suis né en 1951 à Saint Mandé.

Pendant Robert Doisneau, mon maître, avait déjà de grands succès, je me lançais à partir de 7 ans de me lancer comme tous les enfants à la photographie…
Dans mon cas, j’ai commencé par l’appareil de base de chez Kodak (pour les plus jeunes (eh oui cela existe), c’est une marque d’appareil photo de base (un carré faisant office d’œilleton, une cartouche toute prête à l’emploi de 12 ou 24 photos (le luxe), un déclencheur pas souple et surtout le top : une fois que l’on a appuyé sur le bouton, il suffisait de réarmer en tournant la molette jusqu’au prochain blocage…) Clic, Clac et hop merci Kodak (oui, je sais c’est une réclame lol !!). Ce furent mes premiers émois… Dès que la pellicule était finie, vite je réclamais à ma mère d’apporter mes futurs chefs d’œuvre chez le photographe du quartier qui au bout d’une semaine nous rendait les « œuvres » que j’avais concoctées (ou plutôt, je la tannais). Hélas, le résultat était rarement probant mais c’étaient mes photos… Pourtant j’évitais de « mitrailler » car c’était très (trop cher) pour la bourse de mes parents.
Après cet épisode Kodak, dès que je commençais à travailler, je me suis mis en quête d’un « vrai » appareil photo… C’est à dire d’un Reflex. Comme d’habitude, j’étais payé au smig+, ma passion m’a repris, mais pas les finances… J’optais pour un article russe (malgré l’envahissement de la Tchécoslovaquie par leurs frères russes (j’ai des principes que j’ai bafoués allègrement) : Le Zenith avec son 50 mn (lourd comme un âne mort). Je ne vous raconte pas le bruit du déclencheur… Pour faire des économies (car je mitraillais un peu plus), je faisais du Kodachrome (de la diapo haute définition) Oh, ce n’étaient pas encore des chefs d’œuvres, mais j’ai réussi quelques clichés que j’aime toujours… l’aventure s’est arrêtée là, quand il s’est avéré qu’il y avait un minuscule trou dans le rideau (en tissu) de l’obturateur… (la pellicule légèrement voilée n’étant pas très top)
Ensuite j’ai eu essayé toute la gamme des tous appareils photos et je me suis arrêté sur l’HASSELBLAD et dernièrement sur mon LEICA.
Et grâce au FONGECIF, j’ai pu avoir un aperçu de ce qui m’attends…

Pourquoi Romancier ?
Eh bien, pour mon cas personnel, j’ai toujours estimé que la photographie et l’écriture allait de pair... Que la photographie était en elle-même une histoire à raconter…
Donc j’écris comme je photographie avec passion...
GHL